Environ 300 personnes avaient déjà quitté les lieux mardi soir. Mercredi matin, 300 policiers ont fait sortir de leurs cabanons de planches les 250 occupants restants dont environ 70 enfants, sans "aucun incident" selon la préfecture.
L'évacuation de ce camp, qui s'est construit depuis cet été sur des terrains en friche de la commune était pressentie. Les habitations de fortune perturbaient en effet l'approvisionnement en charbon de la CPCU, qui alimente environ 110.000 personnes mais aussi de nombreux hôpitaux parisiens.

Pour en savoir plus: l'express, le figaro