Sinon pour revenir au sujet…
Hier en fouillant sur le net, je suis tombé sur ce lien :
www.apur.org/sites/default/files/documents/APBROAPU389.pdf
qui est un état des lieux de notre ZAC : Rapport de 2006 fait par l’APUR.
Document assez intéressent, qui permettra en plus de voir le chemin déjà parcouru et la transformation de notre ZAC.
Concernant les maisons ouvrières, il y a un descriptif de la zone p.26 :
« LES LOGEMENTS
Dès la création de la première usine électrique, des logements destinés au personnel de l’usine ont été implantés le long du boulevard Victor Hugo. De ce temps, subsistent un immeuble collectif en brique de 15 logements et quatre pavillons accolés deux par deux,
En meulière et brique, bâtis au milieu de jardins et desservis pas une rue intérieure bordée d’une rangée de platanes aussi anciens que les maisons. Un peu plus tard, six mai-sons de ville furent bâties le long de l’avenue et enfin, dans les années 1970, quatre pavillons accolés deux par deux ont été construits à l’arrière des maisons de ville.
L’ensemble fonctionne comme une petite cité-jardin, avec ses allées intérieures plan-tées, ses jardins privés, ses garages, son jardin collectif et son court de tennis. La super-ficie du terrain est de 13 548 m²
Loin de cet ensemble, dans la partie mitoyenne de la CPCU, deux pavillons mitoyens, entourés de leur jardin s’ouvrent sur la rue des Bateliers. La superficie de leur terrain est de 1275 m². Très proches de l’usine, ils subissent ses nuisances, nuisances sonores et vibrations.
Ces 31 logements sont, selon EDF, indispensables au bon exercice de son activité, puisqu’ils accueillent des personnels d’astreinte. Certains ont d’ailleurs été récemment rénovés. En revanche, ces personnels ne sont pas affectés à des activités incluses dans la convention EDF/Ville de Paris de 1955 et ses avenants.
Les qualités des bâtiments et du site permettent d’envisager l’implantation de nouveaux immeubles de logements sur ce terrain en conservant son caractère de cité-jardin et en conservant une partie des bâtiments existants notamment les plus anciens qui sont aussi les plus intéressants.»
La fin confirme la volonté (en tout cas, à l’époque) de vouloir conserver une partie des bâtiments.
@Guillaume merci pour ta réponse. Les échanges que tu évoques avec la Sequano datent de quand ?